Le mot du président
Chères et chers camarades,
C’est la rentrée.
Pour tous.
Avec des activités traditionnelles et de possibles surprises dans les semaines à venir.
Le mercredi 4 septembre, à Balard, à l’invitation de la DRH de la DGA, la CAIA a organisé le traditionnel café pour bien démarrer la journée d’accueil des nouveaux IA, de la promotion 2016 de l’X. C’est un moment toujours aussi sympathique d’échanges entre les jeunes IA, des membres du Conseil d’administration de la CAIA, des représentants de la DRH de la DGA et les premiers intervenants de la journée, l’IGA Vincent IMBERT, Inspecteur général des armées-Armement et l’IGA Hervé MORAILLON, secrétaire général du CGArm. Au fil de la journée, j’ai pu constater la clarté et la cohérence des différentes interventions ; nos jeunes camarades connaissent les actuelles règles du jeu : il leur reste à bâtir leur carrière et leur projet de vie.
A venir, le mercredi 16 octobre 2019, la prise d’armes DGA qui, pour les ingénieurs de l’armement, est un évènement important qui marque la fin de leur scolarité et leur prise de premier poste. Cette année encore, chaque IA devrait avoir comme parrain un ingénieur de l’armement, de quelques années plus ancien, ce qui contribue à tisser des liens entre générations d’IA.
Si j’en juge par les réflexions poursuivies semble-t-il dans la chaleur de l’été, les semaines, les mois à venir vont peut-être nous réserver des surprises.
Je pense bien sûr à la mission THIRIEZ. La CAIA non seulement membre de la Fédération des grands corps techniques de l’Etat (FGCTE), laquelle représente les quatre donc l’ensemble des corps techniques qui recrutent à la sortie de l’X mais aussi membre du G16, lequel regroupe tous les corps de la haute fonction publique, la CAIA donc s’attache à expliquer les modes de recrutement et de gestion du corps de l’armement.
Il peut être utile de rappeler qu’il y a environ trois mille ingénieurs de l’armement vivants, et le corps de l’armement (stricto sensu) a un effectif en gestion à fin 2018 de plus de huit cents personnes dont les deux tiers sont issus de l’école polytechnique. A plusieurs étapes de la vie professionnelle, il est possible d’intégrer le corps de l’armement : à la sortie de l’X, sur titre d’une école supérieure, sur concours externe ou interne (venant par exemple du corps des IETA).
Le recrutement des ingénieurs de l’armement est donc basé sur une sélection exigeante ouverte à la diversité des talents ; les ingénieurs de l’armement acquièrent en début de carrière une formation très opérationnelle sur le terrain, avec rapidement des responsabilités de management d’équipe ou de projet. S’ils veulent prétendre aux plus hautes responsabilités, c’est à eux de bâtir et de dynamiser leur carrière en suscitant, en saisissant les opportunités qui s’offrent à eux, notamment grâce à des formations complémentaires de haut niveau telles que IHEDN ou Ecole de Guerre. Cela me semble montrer que ce système est ouvert et évolutif ; il restera à apprécier comment les propositions du rapport THIRIEZ pourront s’intégrer dans le cursus de carrières des IA.
Autre sujet d’actualité : la réforme des retraites. Il faut là aussi rester attentif aux conséquences, sur le corps de l’armement et en particulier sur son attractivité, des décisions qui pourraient être prises à plus ou moins long terme.
Je vous donne rendez-vous au gala de l’Armement le vendredi 4 octobre 2019.
Je vous souhaite une bonne fin d’année 2019.
Bien amicalement
IGA (2s) Philippe HERVE
Président de la CAIA.
ANNUAIRE 2020.
La qualité des informations de l’annuaire CAIA , lequel sera envoyé à tous les membres de la CAIA à jour de leur cotisation avant le 31 décembre 2019, dépend de ce que vous voudrez bien y indiquer. Ces informations sont gérées dans le strict respect du RGPD : c’est à chaque IA de se rendre sur le site www.caia.net pour y mettre à jour ses données. L’équipe CAIA peut vous assister si vous le souhaitez : webmaster@caia.net
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